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Dans les Disney, les séquences d'ouverture peuvent être des plus classiques (le livre qui s'ouvre et nous introduit l'histoire, comme dans La Belle au bois dormant, pour ne citer que celui-là), ou parfois on est directement plongée dans l'action. Certaines scènes d'introduction sont, je trouve, plus marquantes que d'autres. Voici mes favorites ^^...
Tarzan :
J'ai tout de suite aimé ce début. Les premières notes de musique, très rythmées puis la chanson de Phil Collins, avec la scène qui se déroule (le naufrage des parents de Tarzan avec celui-ci bébé, le parallèle avec le couple de gorilles, etc...). C'est triste sur le fond, mais entraînant aussi, et j'aime bien ce que veut dire la chanson.
La scène de début nous raconte comment Quasimodo, encore bébé, perd sa mère, une gitane à cause du juge Claude Frollo, et est recueilli par ce dernier. Le tout raconté en chanson par Clopin. Je la trouve très forte, parce que le sort des gitans est tragique, mais aussi le fait que tout se passe au pied de Notre-Dame, symboliquement c'est fort. Et les choeurs ajoutent à cette impression.
Juste parfait. Ce début est parfait. Le soleil qui se lève, la chanson qui démarre et colle des frissons... La beauté des dessins (ces animaux sont tous superbes, jusqu'au dernier), et la scène en tant que telle... Ca me colle des frissons directement, pendant 3 minutes, ça ne manque jamais...
Aladdin :
Le film s'ouvre sur la chanson « Nuits d'Arabie », que j'aime bien, et on suit un marchant ambulant qui quelques instants après, va nous introduire l'histoire de la fameuse lampe magique, et d'Aladdin... Et j'aime bien le désert, la première vision du palais.. C'est tout simple, mais ça m'a toujours plu.
Très classique, l'introduction débute avec le bon vieux « il était une fois », sur l'histoire de ce Prince égoïste qui se trouve changé en Bête, et qui le restera sauf s'il parvient à aimer et se faire aimer en retour... Enfant, cette séquence m'impressionnait parce qu'on ne voit pas la Bête, pas vraiment. On voit juste le portrait du beau Prince, déchiré, et la Rose sous globe... Cela me fascinait.